…Parce qu’il y avait beaucoup trop de love in the air :
1. Faire du bateau mouche un samedi après midi :
Ben ouais, il faisait beau, tu étais tout sourire, vous avez mangé une glace les yeux dans les yeux,
puis assis sur un banc public sur lequel vous jouiez les amoureux, une idée fulgurante vous a
traversé l’esprit en même temps – ben ouais les amoureux pensent à la même chose en même temps,
comme dans un film de Donzelli – … faire du bateau mouche.
Combo de la loose – vous y allez en calèche.
Finish him de la loose – sur le bateau tu lui offres du pop corn.
2. Se promener dans les bois :
La première et la dernière fois que t’as fait un geste pour la planète était ce jour ci. Aujourd’hui tu restes
incapable d’expliquer les mécanismes psychologiques qui t’ont amené à foutre en l’air ta paire de Clarks
pour une meuf dont tu te souviens qu’à grand peine. Bien entendu, à l’époque, c’était vraiment trop bien
d’être avec elle au calme, à l’abris de la pollution, une vraie communion avec la nature parce que la nature
qu’elle est belle.
Combo de la loose – vous y retourniez une fois par semaine parce que c’était « votre moment d’intimité »
comme elle disait.
Finish him de la loose – vous n’y avez jamais baisé.
3. Se poser sur le pont des arts :
Ce jour là tu te sentais vraiment frais, la raison de toute cette fraîcheur, c’était que tu considérais le spot
comme l’archétype du PLAN PARFAIT, le love in the air vous a fait boire une bouteille de vin et
accrocher un bout de tissu en lieu et place d’un cadenas parce que vous étiez trop rock’n’love.
Combo de la loose – elle a eu froid, tu lui as filé ta veste… t’as eu froid.
Finish him de la loose – le love in the air t’as laissé croire que tu pouvais faire la roue sur le pont,
mais dans ta poche il y avait les clés de chez toi qui se sont fait un plaisir de piquer une tête dans la seine.
Rendez-vous sur ce site bien burné : http://www.lepiegeafilles.com/
Ahh la Seine… http://www.youtube.com/watch?v=F5widTOLfmM
Hmm vous êtes gentils, mais laisser un lien qui renvoie au piegeafille sur l’article laisse penser que j’en suis, alors que non.