Elle était la, assise devant moi, la fille du métro Pékinois. Accrochée à son téléphone, elle crie, elle pleure, elle gémit, et mes poils se dressent tant elle a l’air de souffrir. Au départ j’hésite à partir pour ne pas m’infliger un tel moment de souffrance pour les 5 prochaines stations (car, croyez moi, les…
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