La femme moderne a heureusement bien évolué. Forte des conquêtes du féminisme, elle a vu ses droits augmenter, tant dans le monde du travail et de la politique que dans celui du sexe ( – Ah mais nan, y’a encore beaucoup à faire hein! – Vos gueules, c’est pas le sujet et en plus moi j’ai envie de voir le verre à moitie plein, OK?). La femme peut donc aujourd’hui enfin (presque) se permettre d’avoir une vie sexuelle permissive, libérée et diversifiée (salope!). La femme peut faire les études qu’elle veut et en principe (vos gueules j’ai dit), accéder à toutes les professions qui lui chantent, de Grand Vizir de l’Allemagne à danseuse à gogo sur une tige qui la fait ressembler à un kebab à paillettes. La femme peut faire des enfants même à 40 ans si ça l’arrange, se marier, divorcer, voter, tuer en série (mais néanmoins assez rarement), geeker et combattre dans l’armée. Roter pas encore, il y a des tabous qui sont insurmontables.
Par contre, dans le domaine sentimental, la femme reste étrangement fragile. L’origine de cette vulnérabilité est tout d’abord cérébrale. Juste sous l’hippocampe, au beau milieu de l’amygdale, le jardinet des émotions du cortex, se situe le noyeau de la connerie féminine. Chez certaines, il a la taille du Sahara Occidental, chez d’autres du Luxembourg, mais aucune n’y échappe. La petite glande conne a comme particularité d’envoyer au cerveau des impulsions, traduites chimiquement par les neurotransmetteurs en pensées, lesquelles se transforment immanquablement en actes. Toute cette fébrile activité neurologique a pour affligeant résultat de rendre la femme sensible à tout être qui lui vend un produit emballé et étiqueté: « besoin d’être réparé/aidé/compris ». Au beau milieu du centre de la connerie, une petite maman est assise sur un banc, attendant qu’on ait besoin de ses soins d’infirmière de l’âme. La petite maman est infatigable et sa principale qualité est de COMPRENDRE. Attention, cette petite maman est très différente de la maman réelle, celle qui sèche les pleurs de sa descendance, met des pansements, fait des puzzles, fait faire les devoirs et met des m&m’s sur les gâteaux d’anniversaire. Non, ça c’est la maman pour enfants, qui est elle très intelligente (et parfois un peu hystérique) et dont le centre névralgique se trouve situé à un tout autre endroit du cerveau.
Je parle ici de la petite maman pour hommes et celle-là est en général conne, voire très conne, voire d’une connerie consternante. Confrontée à des salauds qui se payent manifestement sa poire, elle reste cependant pleine d’empathie, de bonne volonté et de douceur magnanime. Une fois que quelqu’un s’est fait une petite place dans son cœur, la femme en mode « conne » comprend et pardonne tout. L’enculé qui lui promet depuis des années de quitter sa femme et qui revient vers elle après chaque nouveau mioche qu’il a fait à sa légale, le détraqué qui ne sait pas où il en est, qui voudrait bien mais qui doit réfléchir, le manipulateur à éclipses qui revient quand l’espoir s’en presque envolé, pour mieux repartir. Que la femme qui n’a pas eu son boulet me jette la pierre, ou qu’elle se taise à jamais. Même la plus forte, la plus déterminée, la plus lucide a un jour trainé dans sa vie un homme pour qui elle a attendu, cru, espéré, pleuré, effacé, revu, re-espéré, jusqu’à ce que nerfs et larmes amères s’ensuivent. Car il y avait toujours en elle cette attente du changement, ce besoin chez elle d’être celle qui, enfin, réparerait la pauvre âme en peine qui avait tant besoin d’elle. Le cœur, c’est son talon d’Achille.
Certains diront que cela ne concerne que quelques femmes bien précises, ces femmes qui aiment trop, celles qui sont prêtes à tout pour quelques miettes. Je ne crois pas. C’est plutôt quelque chose dans l’essence même de la femme qui la pousse à comprendre, à accepter, à pardonner et à se dépasser. Cette folie altruiste passagère est souvent cause de grande souffrance et de comportements défiant toute logique, et qui fait penser à son entourage que la femme prise de connerie (comme d’autres sont pris de boisson) est résolument pathétique, voire à enfermer. Et pourtant, cette connerie-là a quelque chose de grandiose, de sublime. Parce que l’amour qu’elles donnent est souvent infini, les femmes sont parfois de magnifiques et attendrissantes connes.
Ce qui est terrible dans ce billet c’est qu’on a envie de dire « non non ce n’est pas vrai ». Néanmoins, au fil de la lecture, on est bien obligé de se rendre compte qu’on en connaît plein… des mamans pour hommes.
D’un côter vous etes conne avant et pas dans notre sens
seulement vous, le fait que vous soyez conne ne concerne que votre petit coeur brisée
pour un homme, le fait que les femmes soit conne implique, une fois le coeur brisé vers 15-16 piges:
-des conséquences professionelle, » j’vais pas l’embaucher alors que j’ai déja embaucher une jolie stagiaire, pas envie de passer en deuxieme » ou
« tien j’vais flirter avec le nouvel employé de mon mari qui est bogoss pour retrouver confiance en moi, sa n’implique rien » si, toi tu gagne de l’argent, moi du coup je cherche encore du taf…
des conséquences social : « j’ai rien trouver de mieux que de raconter des mytho/geuler sur lui sur lui pour attirer son attention » …
des conséquences psychiatrique : Oui, un homme reste un homme, et seras toujours plus attirer par des meuf que par ses potes, une femme qui délaisse un homme, c’est un hommes delaisser des hommes egalement mais sa vous ne pouvez pas le comprendre puisqu’il y as toujours eu des gens pour soigner votre petit coeur brisé
le con l’est beaucoup moin le jour ou il découvre qu’il est con et encore le jour ou il découvre pourquoi il est con
les femmes, elles, on peint en rose leur connerie et on appeler sa un « mode de pensée féminin » c’est tout
J’aime beaucoup le titre.
Le titre laissait présager une argumentation. Ce n’est que des « à priori » et des raccourcis avec des gros mots. Dommage
Oh mon dieu, c’est tellement vrai qu’c’en est triste..
c’est un peu le sujet de l’article non ? Il y a de (belles-mais-connes) choses qui échappent à l’argumentation. C’est bien qu’on s’y attendrisse un peu de temps en temps.
@UTY : Toute femme normalement constituee se refuse a appartenir a cette categorie. Et pourtant, en cherchant bien, on a toutes eu ce moment de faiblesse, cette incapacite a couper net en depit de ce que notre cerveau embrume nous criait
@Anudar: Merci
@Anotherwisky: Je suis desolee si le titre laissait presager une etude avec these antithese synthese. La question du titre est rethorique et le texte est un parti-pris, une constatation voire meme pour reprendre ton postulat un amas d’a-priori. basee sur l’observation de moi-meme et de ma prochaine, sans autre pretention que celle-la
@Nell: Et pourtant, la prise de conscience de quelque chose est deja un pas vers sa resolution…
@Paulette: Exactement. Parfois nous sommes connes mais attendrissantes, pardonnons-nous mes soeurs:-)
Cruellement vrai.
Et c’est un peu comme les sectes et autres accroche-cœur et éteint-cerveau : nulle n’est immunisée. Celle qui se croit à l’abri est manifestement la plus conne du lot.
Cela dit, le pendant masculin existe aussi, l’amoureux transi qui laisse une fausse petite créature fragile prendre en main chaque aspect de sa vie par la seule force de ses geignements et petites demandes insignifiantes, jusqu’à en avoir expurgé absolument tout ce qu’il était, tout en lui disant qu’elle l’aime comme il est, sauf…
Si la connerie, c’est la décontraction récréative de l’intelligence, alors, parfois, il est bon d’être une vraie conne sciemment … soyons bête ici on a le droit il parait, le décalage est tellement hillarant et pas forcément là pour relever du talent… et même si il y a des similitudes aux vrais constats, aux manques de finesse, on se tape bien de la bullshit féministe et gauche surtout si le pouvoir et le recul sont à la clef.
On pourra jeter la pierre sur ces connes, les tordres dans un jus de sarcasme, de clichés, certaines ont parfois une chance incroyable de duper et de manier l’humour aussi bien que certaines émotions en tenant le mirroir aux voisins, aux voisines (pour la compet c’est si facile).
Se moquer et donner le véritable ton sur cette société caméléonne est une jubilation rassurante pour certains individus et une doctrine « nouvelle génération » pour les simples connes qui refusent de rentrer dans des moules et préfèrent en jouer. Que c’est difficile de changer les codes sociaux avec des mouffles, que c’est drôle surtout, que c’est triste parfois.
Et si ces connes ont le pouvoir et les atouts de la séduction en bonus, c’est la pactol !
Alors qu’elles le soient encore plus connes car au final, avec une gamelle ou deux elles deviendront des amazones averties, des femmes épanouies, des rigolotes qui se réveillent dans leurs brouillons de vie.
Au milieu de tout ça les hommes se rassurent aussi en se donnant des circonstances atténuantes à aimer ou détester les connes pour justifier leurs peurs, leur mal-être. L’amertume peut s’apparenter en force placebo.
Au final, c’est bon de s’interroger sur les extrêmes et d’en rire.
@Coquillette : dire « j’aime beaucoup le titre » est une façon de dire… (petit jeu : devine la fin de la phrase en remplaçant avec malice les points de suspension par des mots qui vont bien ensemble).
@Anotherwhisky : un titre pareil, c’est une problématique pour dissertation. Limite un sujet de philo pour le BAC. J’attendais la même chose que toi. Le moindre lieu commun, dès lors qu’il est habillé par la forme requise, pourra laisser une impression d’humour, de dérision, de profondeur, voire même ! d’intelligence. Ici, pas de forme pour habiller une idée vieille comme les rapports entre phallophores et aphallophores, à savoir que les premiers sont trop (ou pas assez) ceci et que les seconds sont trop (ou pas assez) cela.
En peu de mots : j’ai pas ri.
P.S. : pour ceux/celles qui ne savent pas ce que c’est, phallophore = « porteur de phallus », et je vous rappelle que le suffixe a- est privatif (comme dans achromatique).
@ANUDAR: Merci de cette petite precision concernant le titre, mon merci n’etait pas moins malicieux, j’avais bien compris l’intention qui sous-tendait au pseudo-compliment. Quant au contenu lui-meme, l’intention n’etait pas de disserter avec profondeur sur les tenants et les aboutissants des rapports hommes-femmes, mais plutot d’annalyser, de maniere assez legere et sans pretention une certaine propention qu’ont les femmes, et moi la premiere, a perdre tout jugement logique des que leur affectif prend les manettes. En ce qui concerne le style et meme l’humour, je ne me targue pas d’ecrire des billets dans un style litteraire tres recherche, ni meme talentueux, car ce sont des ecrits ephemeres, qui ne vivent, comme certains insectes, qu’une journee, ils sont lus puis oublies. Tu me pardonneras donc de ne pas avoir ete a la hauteur des tes espoirs culturophiles( je pense que c’est un barbarismeque je fais la). Tu n’as pas ri, mais en realite, ce n’est pas vraiment drole, c’est meme un peu amer, parce que pour celles qui l’ont vecu, l’experience est triste et un peu culpabilisante. Cependant, et bien qu’une pulsion issue d’une pensee soit la cause de mon billet ( et peut-etre meme la recherche d’une catharsis personnelle) je prends note de ta deception et tacherai d’ecrire, a l’avenir, avec plus de rigueur, si le sujet s’y prete. Quoiqu’il en soit, merci de cette critique que je trouve, somme toute, constructive:-)
@FEATHER: Je precise, au cas ou la chose ne serait pas claire, que je suis une des connes qui a servi d’inspiration a ce texte, et c’est en annalysant mes egarements affectifs puis ceux de femmes dont j’ai suivi les deboires, que j’ai ecrit ce constat. Nul intention chez moi de me moquer, sinon de moi-meme, et par cette prise de conscience, d’arriver a etre l’amazone avertie dont tu parles
Coquillette : entre amazones averties on ne peut que se comprendre. au plaisir de te lire.
Feather
@ Anudar : Sacré Anudar, emmerdeur pro ? 😀
Cet article est tout simplement magique de vérité. La description du cerveau des femmes est très très précise et très documentée. On se croirait en salle de dissection.
Mais y’a une donnée intéressante que tu as oublié de fournir. Passé un certain âge et un certain niveau d’expérimentation du mâle, la maman du banc crève, tuée par son fils Norman.
Elle devient un leurre.
On croit qu’elle est encore là, assise sur son banc et c’est bien elle d’ailleurs. On voit sa silhouette au loin. Mais quand on s’approche et qu’on pose la main sur son épaule comme pour lui parler, la tête tombe.
En fait, arrivé à un certain âge, c’est juste son squelette bien conservé qui reste sur le banc et un peu plus loin en liberté total, ben y’a Norman qui nous regarde.
http://www.youtube.com/watch?v=Vhe1rEt8hVU
@Roxanne : Le probleme c’est que je suis tellement restee assise sur le banc que je suis deja devenue la grand-mere de Norman, celle qui mettait des baffes a sa mere, avec les retentissments familiaux que l’on sait. Mais desfois, je suis aussi un peu Forrest Gump sur le banc, parce que quand-meme j’aime bien les cremes et les parfums et les blogs beaute qui comme chacun sait, font regresser le cerveau des femmes, meme que c’est Michael Ange qui le dit
A force de vouloir, à tout prix, être autre chose que vous même, vous devenez quelqu’un d’autre… une autre chose qui n’a plus de prix aux yeux de ceux qui vous appréciaient telles que vous-mêmes…
Cessez mesdames de vous asseoir négligemment sur ce banc que votre cul ne veut plus fréquenter…
Anudar va faire couler mégaconnard.
@Papaya: Anudar est tout bien reflechi un peu beaucoup condescendant. A voir le nombre de gens qui ont apprecie, le fond a du leur parler, plus que la forme sur laquelle se fixe Anudar. Et s’il n’a vu que la forme, c’est qu’il ne s’est pas identifie a ce dont je parle. Ce qui veut juste dire qu’il n’est pas une conne. Mais c’est tout
Je suis une conne avertie qui avec du recul se dit que cet article est d’une grande justesse.
@coquillette
Il ne s’agit pas de faire une dissertation mais d’avoir un minimum de pertinence.
Se cacher derrière une absence de prétention et le nombre de vue de ton article ne sont pas, à mon sens, des réponses valables aux commentaires.
@Anotherwisky: Je trouve ca suffisament pertinent pour moi, puisque je parle d’un constat base sur mon experience personnelle. Le fait que tu n’apprecies pas ou que tu n’y vois aucune pertinence ne s’applique qu’a toi, et ton avis est subjectif, et non empreint d’une verite absolue. Maintenant on va pas non plus en faire un fromage, ce que j’ecris et comment je l’ecris ne te plait pas, tu m’en vois desolee et fort de cette experience, tu ne viendra plus lire ce que j’ecris, et voila tout. Quant au nombre de vues ( en fait, je parle plutot du nombre de ‘like » sur Facebook qui est une sorte de vote, 335 en l’occurence au moment ou j’ecris ces lignes) il a son importance, puisque cela veut dire qu’un certain nombre de personnes ont lu et apparemment trouve suffisament pertinent pour apprecier, et leur avis n’est pas moins legitime que le tien. Enfin, il me semble.
Coquillette, tu n’aurais même pas du te justifier (sourire).
+1 avec feather
@Roxanne + @Feather: Oui, mais ca m’a enervee et puis j’essaie toujours d’ecouter ce que les autres ont a dire. Au cas ou cela serait constructif. Mais j’ai finalement compris que c’etait comme parler a un mur, ou alors parler avec un martien, langue que je maitrise mal. Mais plus que le Serbo-croate quand meme. Merci les filles, bisou
Quand j’ai lu ça :
« Confrontée à des salauds qui se payent manifestement sa poire, elle reste cependant pleine d’empathie, de bonne volonté et de douceur magnanime. »
Je me suis dit : « en voilà un autre. Un de ces gentils petits garçons qui a terminé en friendzone se demandant pourquoi l’élue de son cœur se fait du mal avec tous ses connards alors que lui il a tant d’amour à lui offrir. Et qui vient le « crier » sur ce blog »…
Puis j’ai vu que l’auteur était une « auteuse », je me suis dit… CQFD.
Quant à cette connerie bien particulière, je ne pense pas qu’elle soit exclusive des femmes. Hélas… 😉 Quant à savoir si les femmes sont incorrigibles et les hommes non… je ne sais pas. Depuis, je ne sais pas si c’est la meilleure méthode pour se corriger/oublier/se blinder, je me suis plus « efforcé » à être un connard qu’un con.
@Boras: Je suppose qu’il y a des hommes aussi, mais c’est en general un syndrome feminin, qui est apparement livre avec les ovaires, c’est un kit en fait:-) Les hommes sont plus pragmatiques et moins longs a la detente, quand il commence a y avoir de la boue, ils y pataugent moins longtemps. Enfin c’est ce qu’il me semble
Je me tais à tout jamais et ne te lance surtout pas la pierre, mais plutôt un bouquet de fleurs, des pivoines tiens, c’est la saison !
juste un petit mot d’un homme qui a été le petit papa de tant de femmes, ça marche dans les deux sens et nous autres hommes aussi viril et macho qu’on soient, on est aussi incroyablement cons parfois, ça doit être le propre même de l’amour inconditionnel
Bonjour, je viens de tomber sur ce post et je vais vous proposer une vision un peu différente.
Les femmes qui cumulent ce genre d’homme (les connards) sont-elles connes?
Non je ne crois pas, sauf pour une minorité d’entres elles dont la bétise nous étonneras toujours…Il y a aussi celles qui répètent une histoire familiale violente qui ne sont pas stupides mais qui auraient besoin de soins ( je ne tiendrais pas compte de ces dernieres dans la suite de mes propos).
Ne vous y trompez pas,vous messieurs,qui compatissez devant ces soit-disant « victimes » de la goujaterie masculine…
Ne vous y trompez pas ,vous mesdames,qui croyez avoir été « trop bonnes-trop connes »…
Car…NON ! Cela n’a rien a voir avec le coeur.
C’est uniquement de l’émotionnel !
Bien évidement tout etre humain peut avoir vécu ce genre de relation, en tirer des lecons et évoluer ensuite vers d’autres types de relations.
Ecoutez bien ses femmes qui se plaignent de tomber que sur des connards…qui veulent un homme gentil et attentionné, qui esperent que leur homme va changer….qui s’accroche aux quelques miettes que leurs hommes leurs jettent de temps en temps en continuant d’espérer…
En fait elles tirent des bénéfices secondaires de cette situation qui finalement les « arrangent » bien…
Car oui… meme si elles jouent la carte du coeur, pleurnichent, et se plaignent d’etre gentille et attentionnées sans rien avoir en retour… au fond d’elles elles aiment cela!
Oui elles en souffrent, mais aiment ressentir ces émotions « fortes » !
Mettez ces dames avec un homme gentil et attentionné, avec qui elles partagerons une vie sociale riche, se sentirons aimées… elles se lasserons ! Pourtant s’était bien ce qu’elles voulaient quand elles pleuraient… que leur homme soit gentil et attentionné…
Cela n’a donc rien a voir avec leurs soit-disant grand coeur…Car elles sont attirées par le coté inaccessible, disent qu’elles se font chier (le connard lui fait vivre plus d’émotion), veulent un homme qui a « beaucoup de caractere » (qui sait la prendre et la rejeter,qui sait l’ignorer de temps a autre,voir pour certaines la recadrer lorsque son coté chieuse et/ou princesse fait surface)…
Ces femmes qui cumulent les connards ne veulent pas que leurs hommes deviennent gentils et attentionnés, elles veulent juste quelques miettes d’attention et de gentillesse en plus… mais surtout pas beaucoup de miettes…sinon elles se lasserons !
Pourquoi je ne tombe, quasiment QUE sur des « connards »?
Mais parce que , MAJORITAIREMENT, il n’y a QUE des connards.
CQFD.
Voir aussi ma réponse p)lus loin, ci-dessous!
Il m’est arrivée, rarement, très rarement, de croiser des hommes vraiment « bien ».
Si, si, cela existe.
Ce sont ceux qui ont un côté « féminin » (tout en pouvant être hétéros)très développé. Qui admirent la Femme et la respectent beaucoup plus que leurs semblables, justement parce qu’ils sont lucides de ce qu’est le Mâle!
Ces rares hommes qui ne sont pas…frimeurs, creux, footeux basiques, ne vivant que pour potes-bière-jeux-vidéos, futiles, frivoles, machos, égoïstes, lâches, malveillants, non fiables, menteurs, profiteurs, infidèles, égocentriques,bosseurs 20 h/24, radins, infantiles, alcooliques, incultes, bornés, mesquins, intransigeants, hypocondriaques, maniaques, hommes avec des neurones situés exclusivement SOUS la ceinture, sans espoir que jamais un ne migre vers leur cortex, et/ou autres accumulant les tâches et responsabilités, pour se donner l’illusion dérisoire et si puérile d’être indispensables!..
Tous ceux -ci, à 61 ans, je les ai croisés.
Les rares hommes « bien » sont ceux qui recherchent les Fondamentaux et qui ne s’encombrent plus de tout ce qui fait le Mec Ordinaire et Primaire…
Soit l’immense majorité de la population masculine…
D’où ma solitude, et celle de très nombreuses femmes, qui veulent mieux que ça, et qui…si l’amour les rend, momentanément « connes » à nouveau, sauront vite voir clair dans le jeu de ces mâles primaires!
C’est tellement vrai que ca m a retourne le bide! (Bon ok on est dimanche matin et je suis dans le train!) Mais quand même!
Personnellement, je suis assez d’accord avec « Un homme ordinaire ». Ce qui ne veut d’ailleurs pas non plus dire que je ne suis pas d’accord avec certains points du billet initial. A mon humble sens — qui, bien entendu, n’engage que moi — je ne pense pas que ce genre de comportements quasi-christiques soient propres à un sexe ou à l’autre. Des hommes aussi bien que des femmes sont touchées, c’est évident.
Le sentiment amoureux est, par essence, volatile, instable, puissant et déroutant; il peut en cela amener à faire, selon le point de vue, les plus beaux sacrifices ou perdre toute dignité.
Après tout, on peut difficilement juger d’un quelconque degré de connerie desdites personnes puisque c’est là une affaire de ressenti relativement casuistique.
En définitive, je pense surtout que ce sont les êtres humains tout court qui d’assez funestes dispositions à se faire souffrir les uns les autres, consciemment ou non, volontairement ou non.
Pour terminer, je terminerai par ce qui me paraît assez généralement vrai à propos du sentiment amoureux et qui participe notoirement à en faire quelque chose d’aussi sublime que potentiellement destructeur : quand la Passion s’en mêle, la Raison s’efface devant elle.
C’est vrai qu’elles sont incroyablement connes pour beaucoup.
Pas le moindre petit effort, madame est parfaite et Monsieur doit être tout blanc, pas la moindre parcelle de petit défaut ne doit faire preuve l’homme.
Si il est un temps soit peu Blanc Mat, ça ne passe pas !!! avec la Femme la seule chose toléré c’est Blanc Brillant !!!
Après 37 années à les observer, les femmes sont :
– Excessives
– Ne savent pas lire une carte / un plan (font donc preuve pour 75% d’entre elles d’un problème d’orientation, que l’on peut distinguer dans d’autres domaines comme bien choisir un mec).
– Chiantes (tel est le déplorable constat de dire une chose et aussitôt son contraire, donc incohérentes).
– changeantes (un jour oui et demain peut-être, je fais ce que je veux et on doit pas me dire ce que je dois faire) => il est fort de constater que les femmes de nos jours ne veulent pas/plus faire ce qu’elles n’aiment pas !
Mesdemoiselles et Mesdames Vous êtes MEPRISABLE !!
Ben voyons…la Femme (la VRAIE, pas la conne de service ou la salope du coin. Qui sont légions!!) est « méprisable? »
Voici ma réponse; publiée ci-dessous, déjà.
Je réponds, en tant que femme.
Ce que, messieurs, vous appelez si élégamment la « connerie », c’est que nous, Femmes, avons ces qualités que vous ignorez, et dont vous profitez honteusement:
La gentillesse, la tolérance, la compréhension, la patience, le dévouement, la générosité, la sensibilité, le sentimentalisme, la douceur, la fiabilité, la ténacité, la persévérance, l’altruisme, la stabilité, l’ empathie, la compassion, la fidélité.
C’est pour cela que vous profitez de nous.
Pour ces qualités.
Que vous nous menez par le bout du nez avec vos mensonges et votre manque total de scrupules…
Et il n’y a vraiment pas de quoi être fiers!
Et vous nous trouvez « connes »?
Les quelques spécimens masculins que j’estime et apprécie, sont ceux (eh oui…il y en a. Peu mais il y en a ) qui ADMIRENT ces qualités, car ils ont l’honnêteté de nous les reconnaitre. Et de ne PAS en profiter!
Ce sont les rares hommes forts, intégres, loyaux, fiables que j’ai pu croiser.
Ce sont ces hommes qui, absolument pas machos, nous trouvent bien supérieures à vous, pour les qualités sus-nommées, et qui admirent notre force, et notre courage!
Ils seront de plus en plus nombreux, dans les nouvelles générations.
Alors, ceux qui ne se reconnaissent pas dans le dernier paragraphe, vous êtes des …
« CONNARDS »!
Et je ne suis pas la seule à le dire. Même une étude l’a démontré.
Sans compter mes amies!!
http://nordpresse.be/75-hommes-connards-selon-etude/
Lol
PS: moi, ce que j’appelle une « conne », c’est quand la nana s’entête à rester avec un connard!
Surtout s’il se fiche d’elle, et la rend malheureuse.
Mais, généralement au bout de quelques temps (parfois quelques années) la « conne » se tire quand même!!
Car elle finit toujours par réaliser que son mec est un connard.
Certaines mettent plus de temps que les autres, c’est tout…Généralement à cause des enfants que le sus-nommé connard lui a faits. Et dont il n’a rien à cirer…
Et si, effectivement, elle ne réalise pas, là, je veux bien lui donner ce titre honorifique de « Conne »
Car, en tant que femme, je la trouve, en effet très conne!
Et irrécupérable…
…comme pour tout genre humain, les émotions restent asexuées… sans verser dans qque déroulé pompeusement neurobiologique sur l’encartage cérébral digne d’un Damasio, les expériences de vie suffisent amplement à vérifier la teneur de cette missive…
…le titre & le contenu appartiennent à une personne… son écoute, sa perception, sa compréhension, j’en passe, traduisent une lecture de la connerie… le sexe de cette personne en donne sa subjectivité…
…je m’amuserai volontiers à résumer de la sorte : la vie est une question de bon sens… tout le monde s’accorde à le reconnaître mais personne ne partage le même… & par extension, la question initiale semble chercher les bons sens, mais derrière qques yeux féminins…
Et même lorsque tu demande instamment à ne pas avoir cette maman chez toi, elle reste accrochée à son banc comme une vieille moule au rocher Monegasque…
Alors oui, les filles sont d’incorrigibles connes… ou de véritables maso…
Je ferais une analyse physiologique un peu différente. Je pense (je ne suis pas médecin) que c’est lié à la sécrétion d’œstrogènes. Les femmes non ménopausées sont maso, sauf celles qui sécrètent beaucoup de testostérone. Point. Je connais aussi des femmes gentilles attirées par des connards de compétition voire des psycopathes qui squattent chez elles et se foutent de leur gueule. J’en connais une qui collectionne les échappés de l’asile carrément. De même les femmes attirées par les prisonniers, qui demandent en mariage des tueurs en série, etc…
A la ménopause, les femmes sécrètent moins d’œstrogènes et se rendent progressivement compte de leur connerie…
Certes, le pourcentage de connards est très élevé chez les hommes. Chez nous, c’est la testo qui rend con.
Je suis tout à fait d’accord. Je pense que les oestrogènes sont les hormones de la bêtise et de la passivité. Nécessaire pour les femmes afin de se reproduire car sinon elle ne pourrait supporter la vanité imbécile et déplacée des mecs. Tous les mecs ne sont pas Einsten loin s’en faut et quoiqu’ils en pensent. Donc la Nature a prévue cette parade pour permettre aux femmes en âge de reproduction de mettre leur cerveau en berne et heureusement car avetout ce qu’elles avalent comme couleuvres tout ça avec le sourire.
Le discours des femmes : je cherche un homme romantique est complètement bidon. Elles arrivent à croire dur comme fer à leur discours tout en faisant exactement le contraire ! Il suffit de regarder le choix des femmes : le caïd, le loser-meneur, etc. Dans mon lycée, j’étais un beau gosse sportif, grand, cultivé, parmi les premiers de la classe, mais timide, assez réservé et gentil. Bilan : 0 fille. Nada. En revanche, le branleur loser s’est tapé presque tout le lycée, de même que l’alcoolo écorché vif qui a séduit toutes les filles de bonne famille.
Ca a continué à l’âge adulte. Un mal de chien à essayer d’intéresser une fille malgré une fréquentation assidue des boîtes de nuit. J’ai sincèrement regretté de ne pas être gay (plein de mecs me draguaient). J’ai rencontré et entendu parler de jeunes beaux mecs gentils, délaissés par les filles, déprimés, qui se faisaient sauver par des gays, qui en profitaient parfois un petit peu. Ca a l’air d’être assez répandu.
Ensuite je me suis mis à la muscu et à la bière, je suis devenu de plus en plus con, et là, ça marche à fond !!! 🙂
Sinon, à l’inverse je connaissais des femmes rentre-dedans, sympa, souriantes, décomplexées, intelligentes, pas très jolies, et qui font leur marché (genre je fais passer un casting pour ce soir) chez les plus beaux mecs et les plus intéressants à faire pâlir d’envie les plus prétentieuses. Elle avaient juste à sourire (voire à faire un mailing à ses amis……. j’ai connu ça ! « qui postule pour passer la nuit avec moi ce soir ? » suivi d’un mailing avec le nom de l’heureux élu !!!!) pour se rencarder avec le top des mecs.
Moi aussi je voulais laisser un commentaire inutile!!! Je suis content! 🙂 J’ai rien dit comme tout le monde! 🙂
Oui, les femmes sont d’incorrigibles connes.
Le problème est que les hommes, hélas, ne valent guère mieux.
Gardons espoir.
Ben…euh oui et non en fait.. tout comme on connait également des hommes qui s’adonnent à ces mêmes faiblesses et se font parfois rouler dans des histoires amoureuses. C’est plutôt humain ce que vous décrivez en somme, non ?
Je réponds, en tant que femme.
Ce que, messieurs, vous appelez si élégamment la « connerie », c’est que nous, Femmes, avons ces qualités que vous ignorez, et dont vous profitez honteusement:
La gentillesse, la tolérance, la compréhension, la patience, le dévouement, la générosité, la sensibilité, le sentimentalisme, la douceur, la fiabilité, la ténacité, la persévérance, l’altruisme, la stabilité, l’ empathie, la compassion, la fidélité.
C’est pour cela que vous profitez de nous.
Pour ces qualités.
Que vous nous menez par le bout du nez avec vos mensonges et votre manque total de scrupules…
Et il n’y a vraiment pas de quoi être fiers!
Et vous nous trouvez « connes »?
Les quelques spécimens masculins que j’estime et apprécie, sont ceux (eh oui…il y en a. Peu mais il y en a ) qui ADMIRENT ces qualités, car ils ont l’honnêteté de nous les reconnaitre. Et de ne PAS en profiter!
Ce sont les rares hommes forts, intégres, loyaux, fiables que j’ai pu croiser.
Ce sont ces hommes qui, absolument pas machos, nous trouvent bien supérieures à vous, pour les qualités sus-nommées, et qui admirent notre force, et notre courage!
Ils seront de plus en plus nombreux, dans les nouvelles générations.
Alors, ceux qui ne se reconnaissent pas dans le dernier paragraphe, vous êtes des …
« CONNARDS »!
Lol
PS: moi, ce que j’appelle une « conne », c’est quand la nana s’entête à rester avec un connard!
Surtout s’il se fiche d’elle, et la rend malheureuse.
Mais, généralement au bout de quelques temps (parfois quelques années) la « conne » se tire quand même!!
Car elle finit toujours par réaliser que son mec est un connard.
Certaines mettent plus de temps que les autres, c’est tout…Généralement à cause des enfants que le sus-nommé connard lui a faits. Et dont il n’a rien à cirer…
Et si, effectivement, elle ne réalise pas, là, je veux bien lui donner ce titre honorifique de « Conne »
Car, en tant que femme, je la trouve, en effet très conne!
Et irrécupérable…
Arrêtez de vous attribuer des qualités, qui en France en tout cas sont celles des hommes, vous feignez de les avoir pour attirer le pigeon, mais en réalité, vous êtes égocentriques, vénales, prétentieuses, imbues de vous même, intolérantes, intransigeantes, hypocrites, immâtures, dépensières et superficielles et non, les hommes qui voient les femmes comme des êtres supèrieures à eux ne sont pas légions, surtout en France.
On a envie de dire oui c est vrai. Mais que nous sommes pleines de bons sentiments et gentilles lol deux secondes. Certains hommes aiment traiter les femmes comme des.déchets apres.éjaculation et elles aiment cela. Faut arrêter, on parle bien des femmes là? Celles qui s etripent comme des furies pour une taile plus fine, des seins plus gros ou une robe tendance. Je reste féministe sur les droits mais sur les femmes et notre féminité, je suis nauséeuse. L homme est un loup pour l homme, un bâtard pour la femme et la femme une sacrée chiennasse pour la femme.elle merite dix fois ce qui lui arrive, elle l excuse elle meme. Quand elle ne pardonne presque rien à ses parents, amiES.. elle est un déchet et elle le sait. Elle servira tant que sa carcasse attirera ses predateurs plus âgés ou morfal. Passé 30 ans, tout est brade déjà qu elle etait pas.bien.difficile avant. Une prostituée pour un peu de sentiments, elle mets du coeur à l ouvrage aux choses qui l ecoeurent et finit par s y habituer. Sa priorité, plus que l égalité des salaires est pouvoir mieux s** ou avaler pour plaire à zom’. Elle est tres intelligente mais seulement executante. Elle reste l esclave naturelle du mec. Meme gueularde ou desseche de ressentiment. Elle fera tâches domestiques et sexuelles bon gré mal gré. Le mec n est presque pas à blâmer. Si une se met à l ouvrir, il retourne à bobonne ou trouve facilement une célibataire en chien de sentiments. Avec le temps, vrai ou faux,elle a presque renoncé à l amour mais dort comme un vieux chien qui sent mauvais aux pieds de son maître.
Wow. Tant de haine (de soi ?) misogyne tout en s’affirmant feministe laisse rêveur. On touche au subline psychiatrique
Tellement d’ accord svec vous, blessure egocentrique bien ouverte chez cette petite fiote qui a tres tres peur des femmes
Je pense que la nature a doté l’homme et la femme de la même intensité de connerie. Celle de la femme de donner en espérant une miette en retour qui n’arrivera jamais, la miette qui ne tombera jamais de la table de leur seigneur et maître, et celle de l’homme qui n’est en fait dans l’univers qu’une petite poussière sans grand intérêt, de prendre comme un gougnafier ce que la femme peut leur apporter et leur offrir. Bon et Con, il n’y a que la première lettre qui change. La Bonté est une vertu. C’est quand elle fonctionne a vide qu’elle devient une tare. Une fois mais pas deux. Tant pis pour celui qui vient après.