À l’occase, faudrait que je te raconte le truc qui m’est resté en travers de la gorge, mon petit moment de solitude à moi. L’instant où ma jolie déviance a pris le pas sur le reste, le passage hardcore où ma réflexion a définitivement penché dans des irrationnelles loufoqueries. Putain de grand moment !…
Continuer l'article →
Si le blanc me conteste mon humanité, je lui montrerai, en faisant peser sur sa vie tout mon poids d’homme que je ne suis pas ce « y’a bon banania » qu’il persiste à imaginer. Quand vous entendez dire du mal des Juifs, dressez l’oreille, on parle de vous. (Frantz Fanon) À force de grandir…
Continuer l'article →
Désolé de t’apprendre la putain de nouvelle si tu la sais pas encore, mais voilà, mon pote, si tu crois que dans la vie on est tout seul, tu te goures méchamment. Moi, quand j’ai eu douze ans, je me suis retrouvé sans daron ce qui a affecté mon développement psychiatrique, comme t’as pu le…
Continuer l'article →
Sincèrement, je voudrais pas me jeter des roses rouges à la gueule sous un feu d’artifice d’applaudissements multicolores mais vous avez une putain de chance que j’appartienne pas au syndicat des blogueurs de chez megaconnard, sinon vous pouviez vous le carrer dans la rondelle pour ce qui est du rythme échevelé des phrases, de la…
Continuer l'article →
Je rentre chez moi. Je suis dans ma caisse. Mon cul, mon bienheureux cul, est posé sur un fauteuil bagnolesque de standingue supérieur. Le cuir adoucit les mœurs, tu sais. La nuit se précise. Les hauts immeubles commencent à la recevoir, et leurs premières lumières l’accentuent au lieu de la rejeter. C’est la lumière…
Continuer l'article →
Maintenant, à mon tour de te donner un bon conseil, ma belle, si tu veux bien piger comment je fonctionne, lis attentivement ce qui va suivre. Et si tu te sens fébrile du bulbe, ou légèrement soporifique des mirettes, prends un livre de Guillaume Musso et va t’allonger cinq minutes. C’est bon tu tiens…
Continuer l'article →
Puis il y a ce jour. Le 8 décembre. Le jour où tout a commencé. Comme si jusque-là un poids énorme appuyait sur un ressort sans bouger et que le 8 décembre l’avait fait sauter. Le 8 décembre je me lève de bonne heure. Je m’habille. J’enfile un slip. Des chaussettes. Un bloudgine. Et…
Continuer l'article →
Le talent au service de la connerie