L’existence sereine et paisible des provinciaux, du moins ceux qu’il m’est arrivé de côtoyer pour le meilleur comme le pire, est réglée comme du papier à musique ; de préférence une valse à l’accordéon où l’on tourne, tourne et tourne, comme pour sonder le gouffre tiède et sépulcral de l’existence ordinaire, plaisamment engoncée dans le…
Continuer l'article