Plus de quarante-huit heures après sa disparition, on restait encore sans nouvelles, lundi 10 mars au matin, du vol MH370 de la Malaysia Airlines qui s’est comme évaporé dans la nuit de vendredi à samedi au large des côtes du Vietnam, avec 227 passagers (dont 4 Français) et 12 membres d’équipage à son bord. Samedi, un peu avant 1 heure (heure locale), ce vol à destination de Pékin, qui avait décollé deux heures plus tôt de Kuala Lumpur, a brusquement disparu des écrans radars au large des côtes vietnamiennes.

Selon une source de l’aviation civile malaisienne citée lundi par le quotidien thaïlandais Bangkok Post, le fait qu’aucune preuve tangible d’une trace du Boeing n’ait été trouvée semble indiquer que l’appareil s’est « probablement désintégré à une hauteur de 35 000 pieds ».

Au fur et à mesure que les heures passent, différentes hypothèses sont envisagées, y compris la piste terroriste, une spéculation alimentée par la présence dans le Boeing 777-200 de deux passagers voyageant avec des passeports volés.

En exclusivité, Megaconnard s’est procuré les véritables hypothèses décrites dans le rapport des enquêteurs.

L’hypothèse M&S

En plus d’être une réelle référence à Mark et Spencer, le nom des deux pilotes de l’avion du vol MH370 de la Malaysia Airlines, M&S est le nom non-officiel d’un éventuel détournement d’avion par des extraterrestres, les initiales M&S étant données en hommage à Mulder et Scully.
Les tâches d’huile sur la mer ne sont en réalité que cette substance appelée Purity qui se propage dans les yeux de ses victimes. Lâchée sur la mer pour coloniser la Terre quand l’avion a été détourné, elle contamine actuellement les fonds des océans jusqu’à nos plus mornes grenouilles vertes. Pendant ce temps les 227 passagers (dont 4 Français) et 12 membres d’équipage subissent des expériences dont la teneur a malheureusement été censurée dans le rapport qui nous est parvenu.

L’hypothèse du roumain

Las de voler sans ambition dans le métro, devant agresser jusqu’à 40 personnes par jour, entraînant des journées de travail excédant parfois 6 heures pour seulement quelques milliers d’euros avant impôts, une filière roumaine aurait décidé de voler directement dans de grands rassemblements. Après un échec sur maintes lignes de bus, la première attaque d’avion aurait été décidée. Il semblerait que trois roumains aient dépouillé les 227 passagers (dont 4 Français) et 12 membres d’équipage du vol MH370 de la Malaysia Airlines pendant que deux autres torturaient la première classe avec des reprises d’Edith Piaf au saxophone et au violon. Une fois les 227 passagers (dont 4 Français) et 12 membres d’équipage du vol MH370 de la Malaysia Airlines agressés, les cinq cambrioleurs auraient sauté de l’avion de la Malaysia Airlines avec leur butin, dépressurisant violemment la cabine et provoquant l’implosion de l’appareil. « Allez on s’barre », hurlé par celui qui semblait être le chef, semblerait, au conditionnel, avoir été interprété à cause du bruit comme « Allah akbar » créant la fausse hypothèse terroriste.

L’hypothèse pourri

La troisième hypothèse révélée par un rapport intitulé Ethic Airlines Distribution Service (EADS) semble également plausible aux yeux des enquêteurs. Appelée pourri, non pas en tant qu’hypothèse auquel cas il y aurait un « e » même si on est nuls en orthographe on a des secrétaires de rédaction, mais bien en hommage à la qualité du Boeing 777 du vol MH370 de la Malaysia Airlines qui, selon le rapport, serait celle « d’un putain de jouet à la con fabriqué par des chinetocs ». L’avion serait en réalité équipé d’ailes en plastique et de réacteurs à vapeur afin d’être allégé comme un 0% et d’économiser du carburant. Selon le même rapport, ce type d’appareil est à usage unique et uniquement destiné à des micro courriers tels que Roche-La-Molière / Le Chambon-Feugerolles.

L’hypothèse de l’erreur

Certainement la plus réaliste bien que simpliste, la dernière hypothèse du rapport EXCLUSIF que la rédaction de Megaconnard s’est procuré, affirme que le vol MH370 de la Malaysia Airlines n’a jamais existé et qu’il s’agit d’une faute de frappe du stagiaire d’i-télé. Une fois l’erreur révélée et devant l’ampleur mondiale du phénomène, la rédaction n’aurait pas osé avouer l’erreur et se serait laissée entraîner dans sa spectaculaire spirale du mensonge. Ainsi, le vol n’ayant jamais existé, ses 227 passagers (dont 4 Français) et 12 membres d’équipage n’oint jamais existé, leurs disparitions n’ont jamais existé, le rapport n’a jamais existé, cet article n’a jamais existé et d’ailleurs vous n’existez pas non plus.